Lino Delacroix

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Lino Delacroix est membre du media Frontières (ex Livre Noir)

Positionnement Global

"On souhaite faire croire que les enfants peuvent grandir sans encombres dans une famille avec deux papas ou deux mamans, avec qu'une seule maman ou qu'un seul papa, venir d'une GPA et n'en ressentir aucune souffrance par l'absence chronique de la maman [...] parcequ'il y en a une dans le processus"[1]

Société

LGBT

Lino Delacroix décrit la communauté LGBT en idéologie unique et nouvelle, en un "nouveau cheval de Troie qui a fait imploser la famille nucléaire et rendu le logiciel traditionnel has-been", chose qu'il semble regretter[2]

Il se moque des LGBTQIA+ en les décrivant même l'intersexuation comme une simple sensibilité, et les décrit tous en "Pokemons" :

"On pourrait même qualifier cette mouvance d'LGBTQIA+ pour regrouper toutes leurs sensibilités, donc en ajoutant les queers, intersexes, asexuels ainsi que tous les autres Pokémons avec le +"[3]

Il associe la communauté LGBT et ses mouvements à des pédocriminels ayant infiltré des organisations s'occupant de jeunes enfants, et relie le tout au à l'éducation sexuelle, jugée comme problématique :

"Restons rigoureux. Il est vrai que sur la question éducative, on peut tout de même dire qu'une partie significative des pro-LGBT défendent une éducation partisane de l'approche sexuelle infantile et cela leur cause des troubles"[4]

"le mouvement LGBT a une relation curieuse avec les enfants, surtout concernant leur éducation sexuelle. J'ai même pas envie de rappeler le nombre de cas sordides liés au traitement des enfants par des représentants de la communauté gay car cela ne représente pas la majorité des pro LGBT. Mais il est vrai qu'on pense tout de même à la triste affaire Pierre-Alain Cottineau dans laquelle on retrouvait à tout hasard de la torture sur mineur, des orgies pédophiles avec vi*l et des tensions d'images p*dop*rnographiques. Je le reliais à notre sujet parce que c'était un fervent militant de l'éducation 'LGBT-friendly' aux enfants et de leur sensibilisation sexuelle. Curieux. Idem pour le célèbre cas James Rennie"[5]

Il décrit ensuite le mouvement LGBT comme parti prenante vis-à-vis d'un "caractère destructeur" et associe les militants pour les droits LGBT à Tyler Robinson l’assassin de Charlie Kirk :

"Ce caractère destructeur, il est également assez prégnant dans le mouvement en tant que tel car chacune des personnes qui s'y opposent fait face à une violence de plus en plus forte. On le voit avec des exemples de l'actualité. L’assaillant de Charlie Kirk, donc Tyler Robinson, se revendiquait aussi de la défense du mouvement trans en plus d'être un militant antifasciste"[6]

"Il existe une violence intrinsèque contre les opposants à une potentielle menace anti-LGBT. En France, on a eu le cas avec Dora Moutot et Marguerite Stern ont dénoncé des dérives notoires du mouvement notamment sur la question trans à travers leur ouvrage bestseller Transmania. Un ouvrage qui démontre cette hystérie sur la question qu'elle soit d'ordre médiatique et politique et que les termes "enceint", "iel" "naître dans le mauvais corps" pour ne citer que cela, et bien ils n'ont souvent pas d'encrage biologique qui peuvent mener à de larges dérives"[7]

"Idem pour la problématique de la cancel culture. Les appels à la mort concernant parfois des personnes qui n'ont même pas exprimé une quelconque virulence à l'encontre du mouvement arc-en-ciel en ont été victimes : Ce fut le cas de J. K. Rolling [...] elle a plaidé pour que les hommes trans [femme trans ?] ne puissent pas concourir dans des compétitions de l'autre sexe, car cela crée des inégalités évidentes"[8]

Droits

Il parle du droit à l'homo-parentalité et de la GPA :

"On souhaite faire croire que les enfants peuvent grandir sans encombres dans une famille avec deux papas ou deux mamans, avec qu'une seule maman ou qu'un seul papa, venir d'une GPA et n'en ressentir aucune souffrance par l'absence chronique de la maman [...] parcequ'il y en a une dans le processus"[1]

Puis associe ces configurations homoparentales et la GPA comme causant une "carence éducative [qui] provoque des probabilités plus élevées de dépression, d'anxiété, de troubles externalisés. Et cela, selon une étude datant de 2014 du 'comity on child maltreatment research' [...] Mais ces hédonistes n'en ont que faire puisqu'ils ont leur petit objet, leur petit enfant rien qu'à eux"[9]

Personnes trans

Lino Delacroix dépeint les personnes trans comme souhaitant militer exclusivement pour la possibilité médicale du changement de genre, associant la prise de testostérone, les opérations de réattribution de genre (car incluant la mammectomie) à des "truchements", semblant faire référence à la notion de subterfuge :

"Ils souhaitent militer pour la possibilité de changement de genre, que ce soit reconnu à échelle sociétale ou par des opérations physiques concrètes [...] Comment arrivent-ils à leur fin ? Et bien, par le truchement [Personne qui parle à la place d'une autre, la prise d'un intermédiaire], par l'intermédiaire de la prise d'hormones de croissance, par exemple, de prise de testostérone"[10]

Lino légitime les craintes vis à vis de la psychiatrisation passée et présente des personnes trans et considère la lutte pour les droits trans comme issue d'une "doctrine" et associe la notion de transidentité en soi et la dysphorie de genre (cf "le qualifier autrement") :

"Est-ce que vous voyez déjà pourquoi cette doctrine, elle peut avoir des dérives, certains dangers ? Je vous rappelle que la dysphorie de genre, pour le qualifier autrement, était jugé comme un trouble mental jusqu'en 2010 et aujourd'hui beaucoup le considèrent encore comme tel d'ailleurs"[11]

(Ainsi, Lino Delacroix met en lien les réserves des conservateurs vis-à-vis de l'accès en soi à des soins spécifiques pour les personnes trans et la dysphorie de genre, touchant une partie non-majoritaire de la communauté trans, là où le traitement de la dysphorie de genre étaient précisément les soins spécifiques suggérés avant (mammectomie, CRS, hormones, visage, etc) quand celle-ci était encore considérée comme une maladie) Il parle "d'ablation de certaines parties du corps" pour parler de la mastectomie/mammectomie ainsi que de la chirurgie de réattribution sexuelle[12]

"Pour réaliser ces transformations, on peut parler de réelles mutilations. Le réaliser à l'âge adulte est déjà questionnable mais en tant que mineur, cela peut être une véritable boucherie"[13]

Il déclare que le taux de regret est "dur à quantifier" car le phénomène "inédit", en citant le Figaro sur les chiffres (entre 0.2% et 1/3)[14] avant de déclarer que le mouvement LGBT dans son ensemble ou en majorité ne souhaite pas du tout prendre en compte la question des regrets et du consentement :

"regrets à long terme pour ce type de processus et à cela s'ajoute un sérieux risque d'infertilité ou de troubles osseux. Mais cela, le mouvement LGBT n'en a finalement que faire. Il n'y a aucun garde fou"[15]

Il décrit ensuite certains parents comme étant dans une "doctrine" LGBT, voulant rendre leur enfant transgenre :

"Quand on voit à quel point certains parents poussent leurs propres enfants à s'insérer dans leur doctrine, on ne peut qu'avoir certaines réticences légitimes"[16]

"Tous ces exemples montrent que le mouvement LGBT est loin d'être immaculé de péchés"[17]

"j'ai évidemment une pensée fraternelle [et non trans?] pour toutes ces personnes homosexuelles qui ne se reconnaissent pas dans ses idées, dans ses écueils"[18]

GPA

"Une étude du centre de recherche sur la famille de l'université de Cambridge de 2013 basée sur 30 familles différentes montre que les enfants nés de GPA présentent plus de problèmes émotionnels et mentaux que ceux issus de la PMA par exemple ou d'adoption"[19]

Références