Clémence Guetté
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| Vrai nom | Clémence Guetté |
|---|---|
| Date de naissance | 15 mars 1991 |
| Activités | Femme politique |
| YouTube | https://www.youtube.com/c/ClémenceGuetté94 |
| https://x.com/Clemence_Guette | |
| https://www.facebook.com/GuetteClemence | |
| https://www.instagram.com/clemence_guette/ | |
| Telegram | https://t.me/ClemenceGuette |
| Site web | https://clemenceguette.fr/ |
Clémence Guetté (née le 15 mars 1991) est une femme politique française, d'abord membre du Parti de Gauche, puis de la France Insoumise (LFI) depuis sa création en 2016. Elle est la coordinatrice du programme de LFI pour les présidentielles 2017 et 2022. Elle est également députée depuis 2022 et première vice-présidente de l'Assemblée nationale depuis 2024.
Stratégie
Elle regrette que le PS n'ait pas censuré le gouvernement Bayrou début 2025 car c'était aussi un moyen d'empêcher Retailleau / Darmanin de dérouler leur agenda réactionnaire.[1]
Elle trouve que les congrès au sein des partis politiques font perdre beaucoup de temps et sont délétères en conduisant à des affrontements de personnes, et estime que l'incarnation vient après le programme.[2]
Mouvements sociaux
Gilets jaunes
Elle indique que LFI "a beaucoup accompagné le mouvement. On a essayé y compris à l'Assemblée nationale de retranscrire certaines de leurs revendications"[3]
10 septembre
Elle a manifesté devant Sanofi dans le Val de Marne.[4]
18 septembre
Elle a participé au mouvement du 18 septembre, d'abord dans sa circonscription puis à Paris.[5]
Démocratie
Elle indique que si LFI arrive au pouvoir, elle aimerait faire passer le RIC (Référendum d'Initiative Citoyenne) sans attendre une 6ème République, "qui comporterait plusieurs dimensions euh des propositions d'abrogation de lois, révocation des élus".[6]
Négociations Matignon
Elle indique que s'ils ont l'occasion de voter à l'Assemblée, ils le feront, mais elle ne croit pas qu'il y a des négociations possibles avec Lecornu : "ça a été 2-3 mois, qui nous font le coup de il y aura peut-être un premier ministre de gauche, vous allez voir, c'est le changement de cap de la Macronie. Absolument pas".[7] Elle dénonce un "truc relativement minable pour essayer d'arracher une non censure côté LR et côté parti socialiste pour essayer de dégager une majorité autour du bloc macroniste. Je ne sais pas s'il va y arriver. J'espère que non."[8] Elle annonce qu'ils vont déposer une motion de censure quoi qu'il advienne.[9]
Elle dénonce les négociations pré-formation d'un gouvernement "où tous les partis politiques défilent, font leur liste de course et où le premier ministre essaie de trouver un équilibre, ça n'est pas le fonctionnement prévu par la 5e République"[10]
Destitution de Macron
Elle explique que le problème démocratique actuel depuis les législatives 2024 est du fait de Macron et qu'une dissolution ne changerait pas grand-chose, d'où le fait qu'il faut le destituer s'il ne démissionne pas de lui-même.[11][12]
Elle dénonce que Marine le Pen a empêché que l'Assemblée nationale examine la destitution de Macron.[13]
Elle reconnaît que la destitution est compliquée à obtenir en l'état actuel, mais que ce qui l'intéresse, c'est de faire progresser l'idée et d'augmenter le niveau de pression sur Macron.[14]
6ème République
Elle pense que la Constituante doit passer par une élection dans la 5ème République, car "parce que pour passer à la 6e république de fait avec Macron j'y crois très peu."[15]
Elle propose que le passage à une 6ème République passe par une Assemblée constituante pour que "les gens puissent par eux-mêmes réécrire les règles du jeu". Elle explique que la 5ème est hyper présidentialisée et "qu'on arrivera pas à faire de constituante si jamais on passe pas par une élection présidentielle".[16]
Elle explique que si LFI gagne la présidentielle, elle gouverne en utilisant les pouvoirs de la 5ème en tâchant de faire passer le plus de mesures possible pour "parer aux urgences" sociale, démocratique, écologique. Dans le même temps, un processus constituant est lancé pour élaborer la nouvelle constitution pendant environ 2 ans, qui comprendrait une part de tirage au sort et une part d'organisations politiques avec des propositions de constitution.[17] Elle souhaite que les débats se déroulent aussi au niveau local par les communes, car "il y a une volonté de participation".[18]
Elle pense qu'un système de coalition à l'allemande met l'AFD (le parti d'extrême-droite allemand) à plus de 20% et n'est donc pas une solution face à la montée de l'extrême-droite.[19]
Comme propositions pour une 6ème République, elle estime que le Sénat n'est pas représentatif des Français, que l'Assemblée nationale a toute son importance et que le président devrait largement perdre du poids.[20]
Elle explique qu'il faudra mettre en place des "gardes fous démocratiques pour faire en sorte que si on arrive à mettre en place une constituante, elle puisse travailler dans de bonnes conditions et que le processus puisse aller à son terme" contrairement à ce qu'il s'est passé par exemple au Chili[21]
Union de la gauche
Elle pense que c'est toujours mieux de se mettre d'accord sur la base d'un véritable programme qui n'est pas minimal, pour être prêt à gouverner et changer la vie des gens en cas de victoire.[22] Elle ajoute que "l'union ça peut pas être à n'importe quel prix, sur n'importe quelle condition, et en disant n'importe quoi"[23], voire que ce serait contreproductif, car ça provoque du dégoût, de l'abstention et donc la montée de l'extrême-droite.[24]
Elle explique en avoir "un peu assez qu'on présente les insoumis comme des diviseurs à toutes les élections, alors que les élections récentes, c'est pas exactement ça l'histoire. Aux européennes, on a proposé aux vert de partir ensemble, on leur proposait la tête de liste, ils en ont pas voulu, on voit ce que ça a donné dans le score de l'extrême droite. Les municipales, on propose des accords nationaux, des discussions nationales, pour l'instant, c'est pas nous qui qui bloquons sur le fait de les avoir."[25]
Elle dénonce les reniements du PS sur le programme du NFP et dit ne vouloir "être associée d'aucune façon au contre-budget par exemple socialiste [...] ça n'a rien à voir avec ce sur quoi ils ont été élus il y a 1 an"[26]
En cas de dissolution après une probable censure de Lecornu, elle propose une "offre fédérative à destination de toutes celles et ceux qui veulent continuer de respecter le programme du nouveau Front populaire sur lequel on a été élu il y a un an". Elle indique que ce sera au Parti Socialiste de décider s'ils renient finalement leur contre-budget et leurs manoeuvres pour entrer au gouvernement avec les macronistes, tout en expliquant être sceptique sur le sujet compte tenu des dernières déclarations du PS, qui se réaligne sur une ligne hollandiste.[27]
Ruralité
Elle indique que les thématiques sont souvent les mêmes entre villes et zones rurales, par exemple pour les déserts médicaux : "je suis députée du Val de Marne, c'est à peu près le même taux de déserts médicaux que dans la Creuse". Elle dénonce une opposition artificielle qui n'est même pas bénéfique électoralement et pense qu'il vaudrait mieux parler du fond comme les services publics plutôt que d'opposer urbains et ruraux.[28]
Elle précise qu'il y a aussi des quartiers populaires dans les zones rurales et dénonce une confusion classe populaire = banlieue.[29]
Elle indique que pour convaincre en zone rurale, il faut rendre plus audible ce qui figure déjà dans le programme, car des mesures sont proposées mais sont peu entendues. Elle reconnaît toutefois des difficultés militantes et matérielles.[30]
Économie
Elle dénonce la volonté du gouvernement Lecornu d'interdire les découverts bancaires : "j'alerte : l'interdiction des découverts bancaires est une mesure qui aura des conséquences gravissimes pour des millions de Français."[31] Elle annonce que LFI lance une pétition ouverte à toutes et tous pour réclamer son interdiction[32] et dépose une proposition de loi pour "abroger cette mesure scandaleuse".[33]
Elle indique que LFI est pour la taxe Zucman (taxe de 2% sur le patrimoine des ultra-riches) et indique qu'ils l'avaient votée à l'Assemblée nationale. Elle précise toutefois : « cela ne peut pas être ça et on avale tout le reste » en parlant des autres mesures du budget.[34] Elle est toutefois sceptique sur le fait que la taxe Zucman soit accordée dans le budget Lecornu dans un accord de non censure avec les socialistes car beaucoup de voix macronistes s'y opposent.[35]
Elle dit « on est aussi pour le retour de l'ISF et pour plus de justice fiscale largement. On pourrait faire un impôt universel sur les entreprises. C'est clair qu'il faut un paquet fiscal. »[36]
Médias
Elle propose une loi anti-concentration des médias pour "faire en sorte qu'il y ait pas 9 milliardaires qui possèdent 90 % des médias. On peut aussi renforcer les moyens de l'ARCOM pour traiter les signalements de racisme, de sexisme à la télévision. Il y a eu des chaînes qui se sont fait fermer leurs fréquences. Ça peut arriver pour celles qui dépassent très régulièrement les la loi en réalité."[37]
Nucléaire
Elle rappelle que la dissuasion nucléaire doit se faire à l'échelle de la nation et pas à l'échelle de l'Europe : "la doctrine de la dissuasion, elle se fait à l'échelle d'une nation. Là aussi ça correspond au périmètre "le peuple français" et "pas les peuples européens". On considère pas qu'il y a un peuple européen pour notre part [...] ça nous empêche pas d'être partisan d'un désarmement nucléaire qui doit être multilatéral, qui doit être concerté."[38]
Abstention
Elle pense qu'aujourd'hui "trop de gens sont dans l'abstention et auraient [...] des intérêts concrets de classe à voter pour un programme de rupture. Et donc il s'agit à la fois de faire entrer dans le jeu politique des gens qui aujourd'hui s'abstiennent, qui sont dégoûtés" et souligne également la responsabilité du mandat François Hollande dans la démobilisation d'une partie du peuple de gauche.[39]
Extrême-droite
Elle estime que la lutte antiraciste est cruciale pour lutter contre l'extrême-droite car "l'antiracisme est une composante absolument essentielle et centrale de la lutte contre l'extrême droite parce que le projet d'extrême-droite est un projet de division des classes sociales et populaires notamment sur la base du poison raciste". Elle explique que l'extrême-droite ne remet pas en cause la compétition néolibérale, le marché, le capitalisme, mais promet à ses électeurs que "ce sera les immigrés, les étrangers, les musulmans [...] qui seront les perdants de cette compétition économique"[40].
Elle indique qu'une part extrêmement conséquente des électeurs de l'extrême-droite s'auto-déclarent racistes.[41]
Elle trouve que l'électorat d'extrême-droite est trop souvent infantilisé "comme si les gens qui votent à l'extrême droite ne savaient pas exactement ce qu'ils font ou vous n'avez pas compris l'essentiel du projet. Je pense que la plupart des gens ont compris le projet. C'est-à-dire que ils pensent eux aussi que la compétition néolibérale est inéluctable [...] donc ils adhèrent à cette vision raciste de la société qui dit "On va faire perdre une partie des classes populaires qui sont les classes populaires racisé"", remettant ainsi en cause la thèse des fâchés pas fachos.[42]
Elle estime qu'il faut démobiliser en partie l'électorat de l'extrême-droite, tout en expliquant que la stratégie ne peut reposer uniquement là-dessus : "les gens pour qui c'est le principal objectif, ça conduit ensuite à une chaîne de décision qui dit "On va passer des sujets sous le tapis, peut-être que l'antiracisme c'est pas exactement prioritaire", et cetera et cetera. Et je pense que c'est perdant sur tous les tableaux."[43]
Elle indique que l'électorat d'extrême-droite repose essentiellement sur les classes intermédiaires plutôt que sur les classes populaires, et qu'ils sont souvent opposés aux valeurs de gauche, d'où la difficulté à les convaincre de voter à gauche.[44] Elle précise toutefois qu'elle ne pense pas qu'il soit impossible pour des gens qui ont voté extrême-droite de changer d'avis et de voter à gauche.[45]
Elle estime que s'implanter localement lors des municipales est un bon moyen de lutte contre l'extrême-droite car "des représentants dans les exécutifs locaux peuvent aussi montrer comment on fait autre chose à l'échelle locale, comment on on travaille sur la souveraineté communale par exemple"[46]
Elle explique qu'il existe une "dimension évidemment intersectionnelle avec l'accumulation des dominations. Je parlais des dominations racistes mais évidemment aussi sexistes, des dominations néocoloniales, des dominations y compris écologiques et de se dire que toutes ces dominations se juxtaposent et que à gauche nier ou hiérarchiser ces différentes dominations conduit de fait et c'est mon point de vue à faire le jeu de l'extrême droite ou de l'extrême droitisation de la société".[47]
Elle explique qu'ils tentent de s'organiser à gauche au niveau de l'Union Européenne, sur des sujets communs comme par exemple Gaza ou le logement, pour être plus forts pour lutter contre l'offensive de l'extrême-droite.[48]
Antiracisme
Elle estime que la marche contre le racisme qui s'est tenue le 22 mars 2025 est un succès : "ça a été une réussite, il y avait vraiment beaucoup de gens dans la rue" et appelle à participer "au 1er mai là aussi pour dire non à la à la guerre sociale et oui à la paix."[49]
Elle explique que le racisme est une question systémique qui implique de déconstruire des biais que l'on trouve partout dans la population, d'où l'importance de la formation militante et de ne laisser passer aucune forme de racisme : "la négrophobie, l'islamophobie, l'antisémitisme, les gens du voyage".[50]
Elle estime que parler de racisme antiblanc comme l'a fait Fabien Roussel revient à donner le point à l'extrême-droite.[51]
Antisémitisme
Elle pense qu'il y a une instrumentalisation de la lutte contre l'antisémitisme du fait notamment de l'opposition au génocide à Gaza.[52]
Elle indique qu'il y a des processus de formation des militants de LFI à toutes les formes de racisme, dont l'antisémitisme.[53]
À propos du visuel qui a fait polémique sur Cyril Hanouna, elle explique qu'il a été retiré au bout de quelques minutes, "ce qui consistait à dire que c'était une erreur [...] c'est important d'écouter les gens qui sont les plus formés, les plus outillés, les plus sensibles aussi à ce type de questionnement" et qu'on peut avouer des imperfections tout en se disant qu'on fera mieux la fois suivante.[54] Elle rappelle que le visuel ne visait pas spécifiquement Hanouna, mais toute une série de personnes qui sont des relais de l'extrême-droite, et qu'il n'y avait aucune intention antisémite ni de référence à sa confession religieuse ou sa culture.[55]
Élections
Présidentielle 2022
Elle pense que le score d'Anne Hidalgo s'explique notamment par le dégoût suscité par la ligne politique du PS depuis François Hollande.[56]
Municipales 2026
Elle explique la différence de stratégie par rapport à 2020 par le fait que LFI a désormais bientôt 10 ans d'existence.[57]
Elle indique qu'un programme a été créé pour les municipales avec des idées de mesures que les listes LFI peuvent proposer localement.[58]
Elle estime qu'il faut une visibilité nationale, donc des listes qui s'engagent sur un minimum de garanties programmatiques, par exemple le RIC, qu'il est possible de mettre en oeuvre au niveau municipal.[59]
Elle explique que des discussions ont été proposées au niveau national avec les autres partis du NFP pour essayer d'avoir un accord global plutôt que des accords locaux : "des accords au cas par cas, ça donne souvent la France insoumise voiture balai notamment des baronnies socialistes qui sont là depuis je ne sais combien de temps qui veulent bien souvent nous avoir sur les listes (enfin pas toujours hein mais voilà souvent). Nous on veut aussi pouvoir mener des listes, mener des campagnes".[60]
Elle pense que dans plein d'endroits il va y avoir des accords, peut-être pas avec tout le NFP mais au moins une partie d'entre eux, notamment dans des villes tenues par la droite. Elle revendique également des listes autonomes dans les endroits où LFI s'oppose à des gestions municipales.[61][62]
Elle explique que les communes ont quand même le pouvoir de faire des choses malgré l'austérité : "On propose par exemple des cantines bio locales et qui sont organisables à l'échelle communale. On propose d'arrêter avec le quota du maire dans les logements municipaux qui ont parfois entraîné des formes de clientélisme dans l'attribution des logements sociaux, pour que ce soit un quota du conseil municipal et qui a une décision collégiale pour attribuer ces logements sociaux. On propose qu'il y ait des référendums locaux qui orientent réellement la politique communale et pas sur des sujets anecdotiques comme parfois ça s'exerce." [63]
Références
Aucune citation en référence pour cette personne.
- ↑ Journal l'Humanité (27 mars 2025). Ukraine, antiracisme, municipales : Clémence Guetté, députée insoumise, face à l'Huma (00:12:30)
- ↑ Journal l'Humanité (27 mars 2025). Ukraine, antiracisme, municipales : Clémence Guetté, députée insoumise, face à l'Huma (00:33:21)
- ↑ Journal l'Humanité (27 mars 2025). Ukraine, antiracisme, municipales : Clémence Guetté, députée insoumise, face à l'Huma (00:24:26)
- ↑ Backseat (20 septembre 2025). C'est quoi la VIe république ? avec Clémence Guetté (00:00:36)
- ↑ Backseat (20 septembre 2025). C'est quoi la VIe république ? avec Clémence Guetté (00:00:23)
- ↑ Backseat (20 septembre 2025). C'est quoi la VIe république ? avec Clémence Guetté (00:18:13)
- ↑ Backseat (20 septembre 2025). C'est quoi la VIe république ? avec Clémence Guetté (00:06:35)
- ↑ Backseat (20 septembre 2025). C'est quoi la VIe république ? avec Clémence Guetté (00:06:58)
- ↑ Backseat (20 septembre 2025). C'est quoi la VIe république ? avec Clémence Guetté (00:07:28)
- ↑ Backseat (20 septembre 2025). C'est quoi la VIe république ? avec Clémence Guetté (00:25:25)
- ↑ Backseat (20 septembre 2025). C'est quoi la VIe république ? avec Clémence Guetté (00:01:40)
- ↑ Mediapart (6 octobre 2025). Clémence Guetté : « La démission ou la destitution d’Emmanuel Macron est désormais un chemin inéluctable »
- ↑ https://x.com/Clemence_Guette/status/1975868087795699905
- ↑ Backseat (20 septembre 2025). C'est quoi la VIe république ? avec Clémence Guetté (00:07:47)
- ↑ Backseat (20 septembre 2025). C'est quoi la VIe république ? avec Clémence Guetté (00:10:56)
- ↑ Backseat (20 septembre 2025). C'est quoi la VIe république ? avec Clémence Guetté (00:11:58)
- ↑ Backseat (20 septembre 2025). C'est quoi la VIe république ? avec Clémence Guetté (00:13:39)
- ↑ Backseat (20 septembre 2025). C'est quoi la VIe république ? avec Clémence Guetté (00:17:26)
- ↑ Backseat (20 septembre 2025). C'est quoi la VIe république ? avec Clémence Guetté (00:26:34)
- ↑ Backseat (20 septembre 2025). C'est quoi la VIe république ? avec Clémence Guetté (00:27:17)
- ↑ Backseat (20 septembre 2025). C'est quoi la VIe république ? avec Clémence Guetté (00:32:52)
- ↑ Journal l'Humanité (27 mars 2025). Ukraine, antiracisme, municipales : Clémence Guetté, députée insoumise, face à l'Huma (00:10:22)
- ↑ Journal l'Humanité (27 mars 2025). Ukraine, antiracisme, municipales : Clémence Guetté, députée insoumise, face à l'Huma (00:54:23)
- ↑ Backseat (20 septembre 2025). C'est quoi la VIe république ? avec Clémence Guetté (00:35:28)
- ↑ Journal l'Humanité (27 mars 2025). Ukraine, antiracisme, municipales : Clémence Guetté, députée insoumise, face à l'Huma (00:49:15)
- ↑ Backseat (20 septembre 2025). C'est quoi la VIe république ? avec Clémence Guetté (00:24:16)
- ↑ Backseat (20 septembre 2025). C'est quoi la VIe république ? avec Clémence Guetté (00:33:51)
- ↑ Journal l'Humanité (27 mars 2025). Ukraine, antiracisme, municipales : Clémence Guetté, députée insoumise, face à l'Huma (00:25:15)
- ↑ Journal l'Humanité (27 mars 2025). Ukraine, antiracisme, municipales : Clémence Guetté, députée insoumise, face à l'Huma (00:27:21)
- ↑ Journal l'Humanité (27 mars 2025). Ukraine, antiracisme, municipales : Clémence Guetté, députée insoumise, face à l'Huma (00:28:04)
- ↑ https://x.com/Clemence_Guette/status/1983832981891641718
- ↑ https://x.com/Clemence_Guette/status/1983872593363869775
- ↑ https://x.com/Clemence_Guette/status/1983540747149124011
- ↑ Backseat (20 septembre 2025). C'est quoi la VIe république ? avec Clémence Guetté (00:03:47)
- ↑ Backseat (20 septembre 2025). C'est quoi la VIe république ? avec Clémence Guetté (00:04:55)
- ↑ Backseat (20 septembre 2025). C'est quoi la VIe république ? avec Clémence Guetté (00:04:45)
- ↑ Backseat (20 septembre 2025). C'est quoi la VIe république ? avec Clémence Guetté (00:33:09)
- ↑ Journal l'Humanité (27 mars 2025). Ukraine, antiracisme, municipales : Clémence Guetté, députée insoumise, face à l'Huma (00:05:25)
- ↑ Journal l'Humanité (27 mars 2025). Ukraine, antiracisme, municipales : Clémence Guetté, députée insoumise, face à l'Huma (00:21:20)
- ↑ Journal l'Humanité (27 mars 2025). Ukraine, antiracisme, municipales : Clémence Guetté, députée insoumise, face à l'Huma (00:08:33)
- ↑ Journal l'Humanité (27 mars 2025). Ukraine, antiracisme, municipales : Clémence Guetté, députée insoumise, face à l'Huma (00:08:38)
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- ↑ Backseat (20 septembre 2025). C'est quoi la VIe république ? avec Clémence Guetté (00:21:14)
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- ↑ Backseat (20 septembre 2025). C'est quoi la VIe république ? avec Clémence Guetté (00:37:01)
- ↑ Backseat (20 septembre 2025). C'est quoi la VIe république ? avec Clémence Guetté (00:39:00)
- ↑ Journal l'Humanité (27 mars 2025). Ukraine, antiracisme, municipales : Clémence Guetté, députée insoumise, face à l'Huma (00:44:18)
- ↑ Backseat (20 septembre 2025). C'est quoi la VIe république ? avec Clémence Guetté (00:39:37)
- ↑ Journal l'Humanité (27 mars 2025). Ukraine, antiracisme, municipales : Clémence Guetté, députée insoumise, face à l'Huma (00:44:56)
- ↑ Journal l'Humanité (27 mars 2025). Ukraine, antiracisme, municipales : Clémence Guetté, députée insoumise, face à l'Huma (00:45:39)
- ↑ Backseat (20 septembre 2025). C'est quoi la VIe république ? avec Clémence Guetté (00:41:09)
- ↑ Journal l'Humanité (27 mars 2025). Ukraine, antiracisme, municipales : Clémence Guetté, députée insoumise, face à l'Huma (00:46:25)