Manuel Bompard

De PolitiWiki
Révision datée du 19 septembre 2025 à 20:48 par Anju (discussion | contributions) (position LFI 7 octobre)

Manuel Bompard est un ingénieur et homme politique français. Il est le coordinateur national de La France Insoumise (LFI).

Positionnement Global

Services Publics

"En supprimant les cotisations, on n'augmente pas le pouvoir d'achat. Les gens devront payer des prélèvements privés plus chers pour financer les profits des assurances"[1]

Mouvements Sociaux

Gilets Jaunes

"Je considère que le mouvement des gilets jaunes a été un mouvement social très important et que nous l'avons soutenu et que nous avons bien fait de le soutenir"[2]

Mouvement '10 Septembre'

"Mais évidemment parce qu'on en partage les revendications et la revendication principale, c'est le fait que le plan Bayrou qui a été annoncé avant l'été soit retiré [...] par exemple le fait de revenir sur la réforme des retraites à 64 ans, par exemple le fait de refuser que ce soit les françaises et les français qui payent le prix, payent les conséquences de la politique d'Emmanuel Macron depuis 2017"[3]


"Oui, effectivement, je le soutiens et je le partage et ensuite j'en respecte le caractère pas apolitique et apartisan : c'est-à-dire que je propose et je demande au militants de la France insoumise et à toutes celles et ceux qui partagent nos idées de se mettre à disposition, de se mettre au service de ce mouvement pour faire en sorte qu'ils réussissent parce que c'est la condition [...] pour protéger les Français des conséquences du ravage que va faire le plan Bayrou s'il rentre en application."[3]

Mouvement '18 Septembre'

La veille, il appelle à manifester et espère qu'il y aura encore plus que 800.000 personnes, qui était le chiffre annoncé en prévision.[4] Il ne souhaite pas qu'il y ait des débordements, et pense que pour se faire entendre il faut que la manifestation soit pacifique et non violente. Il dénonce le traitement politique et médiatique fait des violences très minoritaires pour décrédibiliser toute la mobilisation.[5]

A posteriori, il décrit la journée comme un grand succès, et salue tous ceux qui ont fait grève dans un contexte difficile et tous ceux qui ont manifesté dans un grand calme. Il est convaincu que la mobilisation se poursuivra après le 18 septembre. Il soutient et appuie les manifestations qui se profilent pour le 21 septembre, et y participera le cas échéant.[6]

Conflit israélo-palestinien

Le 11 octobre 2023, quelques jours après le 7 octobre, il indique : « Le Hamas est une organisation qui a commis, samedi, des actes qui visent à semer la terreur, et si on prend comme définition du terrorisme le fait de vouloir semer la terreur par des actes criminels, les actes qui ont été commis correspondent bien évidemment à cette définition ».[7]

Il déclare « Ma boussole en matière de droit international, c'est le Conseil de sécurité des Nations unies », qui a « pris deux résolutions, dans lesquelles il considère comme groupes terroristes Al-Qaïda et Daech » mais pas le Hamas. Il précise : « Les actes qui ont été commis samedi, en droit international, s’apparentent à des crimes de guerre, et je ne suis pas le seul à utiliser cette expression puisque j’ai vu que le représentant de l’Etat d’Israël aux Nations unies utilise cette même qualification ». Il ajoute que qualifier les actes commis au regard du droit international « c’est la seule manière avec laquelle, ensuite, vous pouvez en particulier poursuivre les auteurs devant les juridictions internationales ».[7]


_______.