« Philippe de Villiers » : différence entre les versions

''"La gauche elle me rappelle le Méphisto de Faust qui dit "<u>Je suis l'esprit qui toujours nie</u>" : La gauche, elle nie <u>le réel</u>, elle déteste <u>le réel</u>. Et Charlie [Kirk] en fait, c'était l'homme du réel, de l'<u>ordre naturel</u>, de <u>la famille</u>, de la <u>nation</u>, de ce qui est la réalité des affections depuis les premières tribus, depuis Aristote [...] Ensuite, la gauche, c'est le "<u>camp du bien</u>" [...] ça veut dire que quand on élimine un adversaire [...] et bien c'est une mesure de prophylaxie morale, purification en quelque sorte. D'où ça vient ça ? En fait, la gauche, elle est née avec la Révolution française. La gauche sont les sans culottes. La gauche, c'est [Jean-Baptiste] Carrier dont se réclame le nouveau Robespierre en keffieh [référence probable à [[Jean-Luc Mélenchon]]]. Carrier qui disait "Nous ferons un cimetière de la France si nous ne pouvons pas la régénérer à notre manière" Et encore une autre formule encore plus forte : "c'est par principe d'humanité que je purge la terre de la liberté de ces monstres". Voilà, <u>c'est ça la gauche</u>. La gauche, <u>elle est dans l'aigreur. La gauche, elle est dans la haine</u>. Et donc là, la gauche, elle jubile, elle danse sur le cadavre de Charlie Kirk [...] Il croyait à la paix. Il croyait qu'en étant pacifique, en dialoguant, il pourrait convaincre. Il est allé à Oxford, il est allé à Cambridge [...] Pourquoi ? Pour discuter <u>avec les wokistes</u> [...] Et il croyait au dialogue. Et <u>donc parce qu'il croyait au dialogue, il a été, si vous me passez l'expression, comme disent les gauchistes, exécuté</u>''"<ref>{{ReferenceText|url=https://youtu.be/rW48HBRs5Gw?feature=shared&t=471|timestamp=471|url_desc=Face à Philippe de Villiers / 12 septembre 2025 (CNews)}}</ref>

Concernant [[Charlie Kirk]] - "''C'est le premier <u>martyr</u> du wokisme en Occident [...] Je pense que dans l'histoire des 30 [ou] 40 années qui viennent, cet assassinat sera [...] une <u>balise de détresse d'une civilisation</u> qui marquera l'époque comme <u>le 4 avril 1968 avec la mort de Martin Luther King</u>. Il y a un point commun entre les deux, c'était le côté <u>pacifique</u> [...] je peux dire ce soir, je suis Charlie. C'était la droite qui ne baisse pas les yeux. Il est blanc, <u>fier de sa blanchité. C'est pas si courant aujourd'hui. On longe les murs</u>. <u>On a peur d'être accusé d'être blanc par le wokisme</u>. La blanchité, ça devient une caractéristique <u>douteuse</u>. Il est père de famille et il considère qu'une famille c'est un papa et une maman. Oh là là ! Il a deux enfants. Il est chrétien en plus. il est 'pour la vie' [anti-avortement]"<ref>{{ReferenceText|url=https://youtu.be/rW48HBRs5Gw?feature=shared&t=289|timestamp=289|url_desc=Face à Philippe de Villiers / 12 septembre 2025 (CNews)|archive_url=https://www.cnews.fr/emission/2025-09-12/face-philippe-de-villiers-emission-du-12092025-1738742|date=12/09/25}}</ref>''

<small>'''(modifications en cours)'''</small> Le 6 septembre 2025, Philippe de Villiers lance une pétition qui reprends le projet de Référendum sur l'immigration initialement porté par [[Marine Le Pen]], et ajoute dans son communiqués des critiques de la classe politique et des mentions semblant liés à la notion de "grand remplacement"<ref>https://www.lemonde.fr/politique/article/2025/09/17/la-petition-de-philippe-de-villiers-sur-l-immigration-une-initiative-du-groupe-bollore-qui-embarrasse-les-partis_6641473_823448.html</ref> :<blockquote>''"L’immigration n’est plus un problème parmi d’autres : c’est la question centrale, celle qui commande toutes les autres. Nous sommes en train de <u>changer de peuplement</u>. [...] Si nous ne faisons rien, c’est la fin de la France. Depuis les accords de Schengen qui ont démantelé nos frontières, notre pays n’est plus qu’un hall de gare. Bruxelles a confisqué notre souveraineté, et les gouvernements successifs ont multiplié les pompes aspirantes : regroupement familial sans frein, aides sociales sans condition, régularisations massives. Ainsi s’organise la <u>disparition d’un peuple</u>. <u>Ne comptez pas sur la classe politique</u> pour enrayer cette mécanique infernale de l’<u>effacement national</u>. Elle ne fera rien. Elle est impuissante ou complice. Tant que nous resterons prisonniers de ces politiciens, rien ne changera. [...] pour affronter le problème majeur de notre temps — l’immigration, qui nous submerge et nous transforme : le référendum. L’enjeu n’est rien de moins que la <u>survie</u> de la France. Mais ce référendum, le président ne l’accordera pas de lui-même. Il faudra l’y <u>contraindre</u>. Par la pression populaire. Comme pour la loi Duplomb : une pétition a voulu sauver les abeilles, les oiseaux, les sols. Aujourd’hui, ce sont les Français qu’il faut sauver. Les derniers Français. Avant qu’il ne soit trop tard. [...] Pour la <u>France éternelle</u>"''<ref>https://referendum-immigration.com/</ref></blockquote>

[[Catégorie:Influenceur·euse]]