« François Bégaudeau » : différence entre les versions
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Il dit que la gauche n'est pas uniquement le parti communiste et qui a eu des positions "''un peu'' ''réactionnaire sur des problématiques sociétales''" et "''un certain'' ''nationalisme''" qui le rendait "''difficile à distinguer de l'extrême droite''" et conclu en disant que "''Georges Marchais n'est pas un modèle à gauche''".<ref>{{ReferenceBox|desc=Channel de Les Incorrectibles|date=02 avril 2023|url=https://youtu.be/2J_tYqb0v8I?t=3069|url_desc=François Bégaudeau : "Je considère que la nation française est une entité qui ne veut rien dire !" |desc=Channel de Les Incorrectibles|duration=3069}}</ref> | Il dit que la gauche n'est pas uniquement le parti communiste et qui a eu des positions "''un peu'' ''réactionnaire sur des problématiques sociétales''" et "''un certain'' ''nationalisme''" qui le rendait "''difficile à distinguer de l'extrême droite''" et conclu en disant que "''Georges Marchais n'est pas un modèle à gauche''".<ref>{{ReferenceBox|desc=Channel de Les Incorrectibles|date=02 avril 2023|url=https://youtu.be/2J_tYqb0v8I?t=3069|url_desc=François Bégaudeau : "Je considère que la nation française est une entité qui ne veut rien dire !" |desc=Channel de Les Incorrectibles|duration=3069}}</ref> | ||
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Il réfute la maxime "on est tous le bourgeois de quelqu'un" car "''au plan économique''", "''les prolétaires ne sont les bourgeois de personne''"<ref>{{ReferenceBox|desc=Channel de Les Incorrectibles|date=02 avril 2023|url=https://youtu.be/2J_tYqb0v8I?t=816|url_desc=François Bégaudeau : "Je considère que la nation française est une entité qui ne veut rien dire !" |desc=Channel de Les Incorrectibles|duration=816}}</ref>. | Il réfute la maxime "on est tous le bourgeois de quelqu'un" car "''au plan économique''", "''les prolétaires ne sont les bourgeois de personne''"<ref name=":0">{{ReferenceBox|desc=Channel de Les Incorrectibles|date=02 avril 2023|url=https://youtu.be/2J_tYqb0v8I?t=816|url_desc=François Bégaudeau : "Je considère que la nation française est une entité qui ne veut rien dire !" |desc=Channel de Les Incorrectibles|duration=816}}</ref>. | ||
Il décrit les bourgeois de façon matérialiste comme "''les gens qui possèdent l'outil de production et fond travailler les autres''" et dit qu'ils "''sont prêt à tout''" pour "''augmenter toujours le taux de profit''" ce qui constitue "''l'invariance du bourgeois''" qui est valable aujourd'hui comme au 19e siècle. Il précise que "''l'incarnation actuelle du bourgeois est le grand actionnaire''".<ref name=":0" /> | Il décrit les bourgeois de façon matérialiste comme "''les gens qui possèdent l'outil de production et fond travailler les autres''" et dit qu'ils "''sont prêt à tout''" pour "''augmenter toujours le taux de profit''" ce qui constitue "''l'invariance du bourgeois''" qui est valable aujourd'hui comme au 19e siècle. Il précise que "''l'incarnation actuelle du bourgeois est le grand actionnaire''".<ref name=":0" /> | ||
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| Vrai nom | François Pirlot |
|---|---|
| Date de naissance | 27 avril 1971 |
| Activités | Écrivain, critique littéraire, scénariste, chanteur, acteur et réalisateur. |
| https://twitter.com/begaudeau?lang=fr | |
| Site web | http://begaudeau.info/ |
François Bégaudeau (né le 27 avril 1971) est un écrivain, critique littéraire, scénariste, chanteur, acteur et réalisateur français.[1]
Positionnement global
Il dit ne pas écrire des livres pour convaincre les gens mais parce qu'il a "quelque chose à dire". Il reconnait que ça peut avoir pour effet "nourrir la réflexion" de ses lecteurs et "tordre un peu les mentalités générales"[2].
Démocratie
Elections
Il a déclaré, lors d'une interview en 2023, que les élections présidentielles lui sont indifférentes même quand cela remet en jeu le mode de vie des personnes racisées.[3]
Il dit qu'il "ne pas croit pas" aux élections car elles sont "pipées structurellement".[4] Selon lui les élections "font toujours gagner les partis conservateur" car "elles ont été pensées pour toujours relégitimer le parti de l'ordre".[5]
Il trouve étonnant que des "gens de gauche [...] croient qu'il puisse advenir de l'émancipation et une refonte réelle du corps social à travers les élections"[6].
Référendums
Il est critique du référendum car il dit que la population française a subit une forte propagande sur certaines questions.[7]
Compas Politique
Il dit que Macron est de droite.[8]
Il dit que la gauche n'est pas uniquement le parti communiste et qui a eu des positions "un peu réactionnaire sur des problématiques sociétales" et "un certain nationalisme" qui le rendait "difficile à distinguer de l'extrême droite" et conclu en disant que "Georges Marchais n'est pas un modèle à gauche".[9]
Social
Selon lui les conservateurs et réactionnaires se préoccupent des questions sociales et sociétales de façon stratégique quand ça leur permet d'attaquer la gauche, mais ne s'y intéressent jamais par ailleurs car ce n'est pas "leur passion première".[10]
Il pense que ce qui empêche les "classe populaires" d'adhérer à la gauche ("les mouvements d'émancipation") c'est le fait qu'elles sont précaires et que selon lui la gauche propose un "surcroit d'insécurité", mais pour autant "ça n'invalide pas la gauche"[11].
Classes sociales
Il réfute la maxime "on est tous le bourgeois de quelqu'un" car "au plan économique", "les prolétaires ne sont les bourgeois de personne"[12].
Il décrit les bourgeois de façon matérialiste comme "les gens qui possèdent l'outil de production et fond travailler les autres" et dit qu'ils "sont prêt à tout" pour "augmenter toujours le taux de profit" ce qui constitue "l'invariance du bourgeois" qui est valable aujourd'hui comme au 19e siècle. Il précise que "l'incarnation actuelle du bourgeois est le grand actionnaire".[12]
Il diffuse aussi la description idéaliste des "sous-bourgeois" de Nicolas Framont qui sont des prolétaires qui ont choisi d'être des "soutiens idéologiques des grands propriétaires", "les véhiculeurs de l'idéologie"[13].
Economie
Il dit que le capitalisme est sous-optimal pour libérer tout le potentiel intellectuel et physique des humains.[14]
Immigration
Il réfute que la question de l'immigration est centrale mais dit que "certains ont œuvré a [la] rendre centrale" dans le débat public.[15]
Il dit que "les migrants sont en situation de subordination dans les rapports sociaux", que "ce sont les souffrants de l'histoire".[15]
Selon lui "il y aura toujours de la migration", la solution de gauche à la question migratoire est de "tenir en laisse les marchands et les employeurs afin qu'ils ne se servent pas de l'immigration pour créer du moins-disant social pour que la norme et le repère soit les ouvriers déjà protégés dans un pays donné"[16]
Rhétorique
Il reconnait que son style d'écriture très condensé peu mener à des imprécisions et donner l'impression qu'il "généralise" abusivement.[17]
Il pense que le mot "progressiste" est un "vecteur de confusion".[8]
Références
Aucune citation en référence pour cette personne.
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- ↑ 8,0 et 8,1 Modèle:ReferenceBox
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- ↑ 12,0 et 12,1 Modèle:ReferenceBox
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- ↑ 15,0 et 15,1 Modèle:ReferenceBox
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