Carole Delga

Carole Delga est une femme politique française.

Positionnement Global

Face au "déni de démocratie" reconnu par Carole Delga vis-à-vis du gouvernement d'Emmanuel Macron :

17 septembre 2025 (vieille de grève nationale) - "Il faut arrêter d'épiloguer et construire l'avenir du pays. Appelez au départ du président de la République est irresponsable"[1]

17 septembre 2025 - "Il faut que le PS aille dans des négociations dans l’intérêt des Français. Il faut ramener de la crédibilité et de la stabilité par rapport aux marchés obligataires. Il y a un vrai risque de décrochage après la dégradation de la note de la France par l'agence Fitch"[1]

La France Insoumise [LFI]

Elle se déclare prête à ne pas s'allier à La France Insoumise [LFI] en cas de dissolution, même pour des accords défensifs.[2] Elle indique être ainsi prête à perdre des sièges à l'Assemblée nationale (notamment en cas de dissolution de cette assemblée) :

"Pour faire reculer l'extrême-droite, on ne doit avoir aucun accord électoral avec un parti qui, au niveau international, a du mal à condamner la dictature chinoise et, sur le plan intérieur, prône le communautarisme et l'abaya dans les lycées de la République"[1]

"Sur le terrain, Jean-Luc Mélenchon fait plus peur que Marine Le Pen. En Seine-Saint-Denis, ce n'est peut être pas le cas, mais dans le reste de la France, c'est la réalité"[3][4]

A propos de Jean-Luc Mélenchon elle affirme : "Jean-Luc Mélenchon s'est discrédité avec les propos antisémites qu'il a tenu"[5]

Elle indique que Jean-Luc Mélenchon fait plus peur sur le terrain que Marine Le Pen.[2]

Sur l'affirmation de Jean-Luc Mélenchon concernant les éléments de langage de l'action française :

"Il s’enfonce dans une violence verbale dangereuse"[6]

Israël / Palestine

12 octobre 2023 - "Oui il faut interdire les manifs pro-palestiniennes"[7]

12 octobre 2023 - "Oui, car aujourd’hui on ne peut pas prendre le risque d’embraser la France et d’être dans des postures qui vont créer une opposition entre musulmans et juifs. La France, elle est laïque"[7]

"l’émotion ne permettait pas, à date, de tenir des manifestations sans risque pour la sécurité et l’ordre public"[7]


Aux membres de La France Insoumise après la mise en avant de ces propos et le sous-entendu de certains membre qu'elle n'assume pas sa vraie posture idéologique, Carole Delga dénonce un "fake", déclare que LFI n'est pas un mouvement de gauche et brandit la menace de l'extrême droite :

"Non, Madame, la GAUCHE ce n’est pas ça. Manipulation de l’information, diffamation, violence, vos pratiques vous déshonorent. Vous savez très bien que cette photo, prise au meeting à Toulouse en mars dernier, est un montage, un FAKE"[8]

"La manipulation de l’information, la diffamation, la violence, vos pratiques vous déshonorent"[8][7]

"Alors que se joue le destin de l’Europe et que l’extrême-droite est à près de 40%, les Français méritent beaucoup mieux que la conflictualisation permanente et l’abaissement continu du débat public"[8]

Économie

A l'occasion de la préparation du budget pour le gouvernement Lecornu, elle propose dans le but d'augmenter le pouvoir d'achat[1] :

  • de baisser la CSG "[afin que] le travail paye"[1]
  • de relancer la croissance
  • d'avoir une nouvelle fiscalité et de faire des économies[9]

Elle se dit pour la taxe Zucman (2% annuel sur le patrimoine supérieur à 100 millions d'€).[10] qu'elle qualifie "d'assez pertinente"[1]

Elle semble adhérer à l'idée que la dette de la France en 2025 est un problème.[11]

Laïcité

Elle semble s'opposer au port de l'abaya et en faveur de son interdiction[1][citation ici]

Élections

En septembre 2025, elle organise une rencontre avec Marine Tondelier, Olivier Faure, Raphaël Glucksmann, Fabien Roussel et le PRG pour discuter de l'avenir de la gauche.[12]

Elle critique le principe de faire une primaire pour désigner un candidat commun pour 2027 : « On ne l’a pas actée au sein du PS. La primaire embarque moins de la moitié du parti ».[13]

Références