Le Précepteur
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Charles Robin, dit Le Précepteur, (né le 11 avril 1986) est un influenceur politique sur YouTube et essayiste. Il a publié les livres : La gauche du capital : Libéralisme culturel et idéologie du marché, Itinéraire d'un gauchiste repenti et Tous philosophes ?.
Vrai nom | Charles Robin |
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Date de naissance | 11 avril 1986 |
Activités | Vidéaste, essayiste |
YouTube | https://www.youtube.com/@Le_Precepteur/ |
https://www.instagram.com/charles_precepteur/ | |
Site web | https://www.le-precepteur.fr/ |
Positionnement global
Il pense qu'il y a "un intérêt humain universel", "un bien commun", il pense que par exemple "la santé", "la connaissance, l'éducation sont des intérêts universels"[1].
Il s'interdit "d'exposer [sa] conception de la société idéale" car "ça n'a pas d'intérêt" car "une société idéale, c'est une société dont on sait qu'elle n'adviendra jamais"[2], il "préfère avoir un peu moins de grands principes, mais un peu plus de cohérence entre [ses] opinions et [sa] pratique quotidienne"[3].
Il pense que la dénonciation publique de problèmes de société est motivée uniquement par le besoin de réduire une souffrance personnelle[4].
Il dit que se focaliser sur les problèmes de société est "extrêmement démobilisateur"[5] et doute de la sincérité de la démarche de ceux qui s'engagent en politique s'ils ne disent pas "que ce qui ne va pas dans le monde, c'est d'abord eux-mêmes"[6].
Il pense que "globalement, si on parle de société idéale, la majorité des gens sont d'accord entre eux"[7].
Il ne "s'intéresse absolument plus à la politique parce que la politique, c'est le projet illusoire d'étendre à une nation, un projet d'existence qu'on ne daigne pas accomplir autour de soi", il pense au contraire que "la société idéale, on doit la construire autour de soi, on doit la construire à son échelle"[8].
Il pense que la meilleure action politique est de s'exclure de la société [citation 1][9].
Il est contre l'utilisation d'étiquettes car elles servent souvent à discréditer sans avoir à argumenter[10].
Démocratie
État de droit
Selon lui, "la notion même de droit présuppose que l'individu qui a des droits, a conscience de ses droits"[11].
Sociétal
Selon lui, "la société fait tout pour nous anéantir intellectuellement, pour nous anéantir spirituellement et pour anéantir notre esprit critique"[12].
Scepticisme
Il pense que le scepticisme est une méthode valide qu'il prône[13].
Il pense qu'il y a un "problème du militantisme sceptique" car selon lui, la méthode sceptique appliquée à la politique, la morale, l'idéologie "ne conduit pas au même résultat" selon les individus qui l'utilisent et "permet de justifier ce qu'on aura décidé par avance de justifier"[14].
Selon lui, "au nom de la rationalité, du scepticisme, de la méthode, on peut justifier la censure, la ségrégation, le fait que le sexe n'existe pas, que la nature n'existe pas, que tout n'est que construction sociale, que tout n'est qu'arbitraire"[15]
Mouvement woke
Il pense que le wokisme n’est pas un mouvement philosophique mais politique[16].
Il est choqué par la description de la société en catégories sociologiques, car il y oppose le fait qu’une oppression peut être exercée par une minorité et dit avoir une conception républicaine et universaliste de la société[17].
Il pense que la vision woke ne repose pas sur un modèle universaliste, mais sur un modèle communautariste[18].
Selon lui, la pensée woke a un sens aux USA, mais elle est problématique en France, car il croit comprendre que lorsque que les woke décrivent des communautés oppressées, ils revendiquent de se regrouper en communautés ethniques qui auraient "une volonté de ne pas se mélanger" et donc il nomme ça du "séparatisme"[19].
Selon lui, la pensée woke attribue la cause des oppressions systémiques au fait que les minorités s’écartent de la norme de la majorité [citation 2][20].
Selon lui, la pensée woke attribue la cause des oppressions systémiques uniquement à ceux qui en bénéficient (et non pas à la société entière, il ne mentionne pas le principe d’intériorisation des oppressions) [citation 3][21] [citation 4][22] et selon lui, les woke sont des identitaires qui essentialisent les catégories privilégiées et les désignent comme des ennemis à combattre[citation 5][23].
Lorsque le mot race est évoqué, il ne pense pas du concept sociologique de race et comprend le mot race automatiquement comme race biologique[24].
Il pense que l’adhésion à la pensée woke par des privilégiés est due au sentiment de culpabilité[25].
Il pense que le mouvement woke a pour objectif que l’occident se punisse lui-même, se repentisse et demande pardon pour ses crimes historiques[26].
Il pense que les occidentaux blancs soutenant le mouvement woke ne sont pas légitimes car non-concernés et qu’ils l’infiltrent le mouvement woke car "l’occidental est spécialisé dans l’art de faire la leçon au monde"[27].
Covid-19
En réponse à Cyrus North qui dit que le pass sanitaire est la liberté, il dit qu'on "peut défendre théoriquement toute position à partir du moment où on a des arguments cohérents et logiques" mais il trouve que les arguments de Cyrus North sont "du foutage de gueule" car ça serait "un raisonnement ultra-sophistiqué dans lequel on va passer par la porte de service pour revenir par la fenêtre et nous expliquer qu'en fait le blanc est noir et le noir est blanc" sans détailler davantage pourquoi les arguments de Cyrus North ne sont pas cohérents et logiques. Puis il conclût, sans argumenter : "Le pass n'est pas la liberté. Le pass est une restriction de liberté. Le pass est une injonction à l'obéissance, et on peut considérer que c'est bien, mais il ne faut pas nous faire croire que c'est ça la liberté"[28].
Spécisme / Antispécisme
Il pense que la différence entre l'homme et l'animal ont la "faculté particulière de pouvoir exprimer de la pensée abstraite" ce qu'il nomme aussi "capacité symbolique" et font de l'homme un "animal métaphysique"[29].
Il est contre le fait que les humains fassent souffrir les animaux.[30][31]
Il est pour tuer les animaux sans les faire souffrir[32] et justifie cette différence de traitement par le fait que les humains ont une "dignité" que les animaux n'ont pas [citation 6][33].
Économie
Immigration
Présidentielle 2022
Références
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