Georges-Louis Bouchez

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Georges-Louis Bouchez (né le 23 mars 1986) est un homme politique belge.

Georges-Louis Bouchez

Vrai nom	Georges-Louis Bouchez
Date de naissance	23 mars 1986
Activités	Politicien
Twitter	https://twitter.com/GLBouchez/
Facebook	https://www.facebook.com/glbouchez/
Instagram	https://www.instagram.com/glbouchez/
LinkedIn	https://www.linkedin.com/in/georges-louis-bouchez-834179113/
Site web	https://glbouchez.be/

Démocratie

"Partout où le PS [belge] est haut, le FN [belge] est haut aussi. Il faut en finir avec cela, sinon ce sera la victoire des populistes. Si on ne change rien, ceux qui traitent ce Gouvernement de fasciste se retrouveront face à de vrais fascistes."

"Je ne défends pas Theo Francken [N-VA] mais une ligne politique qui a au moins le courage d’essayer de traiter les choses rationnellement."

Il a été assistant de Hendrik Vuye, avant qu'il soit temporairement président de la N-VA, Georges-Louis Bouchez déclare à son sujet : "[...] La N-VA, c'était le mal absolu, et pourtant, entre nous, ça a immédiatement collé. [...]"

"La gauche intellectuelle représente 90% du terrain médiatique. Elle dit aux gens ce qu’ils doivent penser. Dès qu’on est pas d’accord avec elle, on est un facho. Elle reproche aux gens de mal voter, de mal penser. En fait, tout le débat migratoire est pourri par une faillite intellectuelle de la gauche. Elle n’a plus de projet positif à proposer."

Concernant la rupture du cordon sanitaire suite au débat avec Tom Van Grieken du Vlaamse Belang, il se justifie : "On la [l'extrême droite] combat en débattant et en démontant leurs arguments, pas dans un entre soi mortifère…"

Concernant le cordon sanitaire, méthode qui a fait ses preuves pour lutter contre l'extrême droite, il pense que c'est une solution datée qui n'est plus adaptée à notre époque.

Il met à pied d'égalité l’extrémisme de gauche et l’extrémisme de droite.

"La réalité, c’est que les journalistes politiques sont eux-mêmes les passagers d’un storytelling rédigé par quatre ou cinq partis de gauche."

"Aujourd’hui, la gauche n’a plus le travail au cœur de son projet. [...] La gauche a abandonné les ouvriers et les prolétaires pour d’autres types de combats comme les personnes d’origine étrangère ou les migrants. Or, aujourd’hui, un petit cadre est peut-être l’ouvrier du XXe siècle. Cette classe-là, c’est-à-dire des gens qui veulent s’en sortir par leur boulot et être récompensée par leur travail, est toujours majoritaire. La gauche a remplacé ces gens par des minorités bruyantes déconnectées des classes moyennes. Exemple : le port du voile."

Il craint que, avec la police de la pensée, on puisse en arriver à des situations où, "par exemple, pour sauver la planète, un CST contrôlerait le nombre de fois où on prend l'avion sur l'année".

"Depuis 2001, on connaît une réduction progressive de nos libertés, à chaque fois pour un principe d'efficacité."

Politique internationale

"Valérie Pécresse a été chiraquienne, sarkozyste, macroniste et maintenant, elle ressort le karcher. J'ai plus de respect pour Zemmour que pour Pécresse. Je préfère quelqu'un dont je combats les idées, mais qui au moins à une cohérence dans ses idées que quelqu'un qui selon la courbe du sondage change d'avis tout le temps"

"Je voterais Macron, même s'il m'a beaucoup déçu."

Il considère De Gaulle comme un monument de l'histoire et Nicolas Sarkozy comme un grand président de l'histoire de la république.

Concernant la remarque qui lui est faite de dévorer les biographies de Napoléon, Maradona, Bernard Tapie, Winston Churchil ou Nicolas Sarkozy, il déclare : "La flamme de vie chez tous ces gens, ça me fascine [...]. À un moment donné, ces types sont allés chercher ce qui allait faire la différence. C'est une source d'inspiration constante pour moi. Ils démontrent que rien n'est impossible. [...]"

Sociétal

Il déclare que la liberté est menacée par le wokisme.

Selon lui, les libéraux sont le seul rempart contre le collectivisme et le communautarisme.

Voile et signe d'appartenance religieuse

Se défendant de viser le port du voile, il déclare : "La désignation d’une femme portant un signe convictionnel comme commissaire du gouvernement de l’institut de l’égalité homme femme est totalement contraire au principe de neutralité de l’Etat."

Il remet en question que le port du voile est une question de liberté individuelle, rejoignant certains dogwhistle islamophobes: "Enfin, le voile librement porté ne pose aucune difficulté mais faut il rappeler qu’il est dans certaines familles ou certains pays un outil de domination contre les femmes ?"

Économie

Il souhaite rendre transparent les salaires des dirigeants de mutuelles et syndicats : "Les syndicats deviennent des organes de gestion de l’État alors qu’ils ne passent pas par la case de l’élection et qu’ils gèrent des deniers qu’ils n’ont pas eux-mêmes collectés, je trouve qu’il y a une usurpation de fonction".

Retraites

Il souhaite mettre en place la pension à mi-temps pour les départs en retraite anticipée et les gens qui souhaitent travailler après leur retraite. Il veut augmenter la durée de travail effectif pour l'accès à la pension minimum. Il veut tirer vers le haut le nombre de jours de travail requis par les salarié pour qu'une année soit comptabilisée, en le mettant à égalité avec les indépendants. Il souhaite mettre fin aux régimes spéciaux. Il veut revoir la méthode de calcul des fonctionnaires dont il trouve la retraite trop élevée par rapport aux salariés et indépendants. Il s'oppose à la taxation des entreprises pour financer les retraites.

Il souhaite réformer les pensions pour utiliser la profession plutôt que le statut.

Immigration

"Le plus grand problème dans le débat, c’est qu’il y a une faillite intellectuelle de la gauche. Plus personne au PS [belge] n’ose dire "je vais ouvrir les frontières". Alors que c’est cela derrière leur politique. [...] C’est le parti le moins en phase avec son électorat."

Environnement

Il est contre le retrait du nucléaire.

Il souhaite abroger la loi belge de 2003 sur la sortie du nucléaire.

Il est pour un mix renouvelable-nucléaire.

Il craint que, avec la police de la pensée, on puisse en arriver à des situations où, "par exemple, pour sauver la planète, un CST contrôlerait le nombre de fois où on prend l'avion sur l'année".

Références

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