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Il indique finalement quelques heures plus tard ne jamais avoir eu l'intention de gouverner avec les macronistes : ''"je veux couper cours avec ces élucubrations d'un gouvernement commun avec la Macronie".''<ref>https://x.com/Elo_Dvt87/status/1975879655249916033</ref>
Il indique finalement quelques heures plus tard ne jamais avoir eu l'intention de gouverner avec les macronistes : ''"je veux couper cours avec ces élucubrations d'un gouvernement commun avec la Macronie".''<ref>https://x.com/Elo_Dvt87/status/1975879655249916033</ref>
== Assemblée Nationale ==
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== Mouvements sociaux ==
== Mouvements sociaux ==
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== Elections ==
== Elections ==
En septembre 2025, il participe à une réunion organisée par Carole Delga pour discuter de l'avenir de la gauche avec [[Marine Tondelier]], [[Raphaël Glucksmann]], [[Fabien Roussel]] et le PRG.
En septembre 2025, il participe à une réunion organisée par [[Carole Delga]] pour discuter de l'avenir de la gauche avec [[Marine Tondelier]], [[Raphaël Glucksmann]], [[Fabien Roussel]] et le PRG.


== Références ==
== Références ==

Version du 20 novembre 2025 à 00:17

Olivier Faure
Olivier Faure (cropped).jpg
Vrai nom Olivier Faure
Activités homme politique français
Twitter https://x.com/faureolivier

Olivier Faure est un homme politique français premier secrétaire du Parti Socialiste [PS].

Relations entre partis

La France Insoumise [LFI]

Selon lui, LFI vole « au secours des plus riches »"[1]

Il accuse Jean-Luc Mélenchon de casser l'union de la gauche et de ne pas avoir l'intention de soutenir le PS s'il accédait à Matignon, alors que lui serait au contraire pour l'unité à gauche.[2]

Macronisme

Il conteste le fait que Sacha Houlié, ancien député macroniste, rejoigne finalement le groupe des socialistes à l'Assemblée Nationale.[3]

Il pense que Sébastien Lecornu peut réussir s'il change de cap.[4]

Gouvernement

Il se déclare à la disposition d'Emmanuel Macron pour discuter des conditions d'une entrée au gouvernement.[5]

Il se rend à Matignon "par esprit républicain" pour rencontrer Lecornu et réclamer : "taxe Zucman, hausse des salaires nets jusqu’à 2000€, suspension de la réforme des retraites, relance écologique".[6]

Il déclare qu'il ne serait pas illégitime que le parti socialiste gouverne avec des ministres démissionnés Lecornu et Barrot, car ce sont des domaines partagés du Chef de l'Etat.[7]

Il indique finalement quelques heures plus tard ne jamais avoir eu l'intention de gouverner avec les macronistes : "je veux couper cours avec ces élucubrations d'un gouvernement commun avec la Macronie".[8]

Assemblée Nationale

En octobre 2025, après la renomination de Lecornu, il dit que la dissolution est l'hypothèse la plus vraisemblable.[9]

Mouvements sociaux

À propos du mouvement du 10 septembre et de ses suites, il déclare que c'est une mauvaise chose de bloquer :

"Ce n'est pas utile de bloquer (...) À chaque fois qu'on est dans la dégradation, à chaque fois qu'on donne le sentiment qu'on est sur la recherche du chaos, on aide le gouvernement à mépriser ce mouvement"[10]

Immigration

En réponse à un auditeur de France Inter affirmant avoir subi de la discrimination « anti-blanche », Olivier Faure répond : « Nous avons souvent évité la question pour ne pas avoir à y répondre. [...] Tous les élus connaissent les difficultés, y compris [de] la crise identitaire qui est profonde chez certains de nos concitoyens. » Il pense qu'il existe « des endroits où le fait de ne pas être issu de l'immigration peut poser problème à des gens qui vivent dans ces quartiers » et que l'on a « construit des ghettos » en raison de la politique de logement. Il parle également d'un sentiment de « colonisation à l'envers ».[11]

Il parle de "colonisation à l'envers" à propos d'endroits où des gens qui ne sont pas issus de l'immigration pourraient se sentir exclus : "les regroupements qui se sont faits générations après générations donnent le sentiment qu'on est dans une forme de colonisation à l'envers".[12]

International

Israël / Palestine

Il dénonce l'ordre qui a été donné par la direction de Sciences Po de faire évacuer des étudiants qui bloquaient le campus pour dénoncer la situation à Gaza : « On n’envoie pas les CRS pour déloger des étudiants pacifiques. La jeunesse n’a pas vocation à enfiler l’uniforme de la pensée gouvernementale. Quelle image est envoyée au monde ? Tous les autocrates de la planète se frottent les mains »,[13]

Elections

En septembre 2025, il participe à une réunion organisée par Carole Delga pour discuter de l'avenir de la gauche avec Marine Tondelier, Raphaël Glucksmann, Fabien Roussel et le PRG.

Références

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