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=== "Les Femmes" ===
=== "Les Femmes" ===
* Il déclare avoir "conquis" 700 femmes<ref>https://images.epagine.fr/024/9782911621024_4_75.jpg<nowiki/>(archive) https://www.librairie-gallimard.com/livre/9782911621024-kontre-kulture-sociologie-du-dragueur-alain-soral/</ref> (il répète souvent cet usage du verbe 'conquis', 'conquérir', 'etc' pour parler de relations avec des femmes), et se qualifie de dragueur.
* Il déclare avoir "conquis" 700 femmes<ref>https://images.epagine.fr/024/9782911621024_4_75.jpg<nowiki/>(archive) https://www.librairie-gallimard.com/livre/9782911621024-kontre-kulture-sociologie-du-dragueur-alain-soral/</ref> (il répète souvent cet usage du verbe 'conquis', 'conquérir', 'etc' pour parler de relations avec des femmes), et se qualifie de dragueur.
* Dans son livre 'Sociologie du Dragueur (1996), il considère ensuite le dragueur comme n'ayant ''"rien à dire aux filles, leur compagnie amicale ne l’intéresse pas, il se fout encore plus de ce qu'elles peuvent avoir à raconter. Le dragueur ne cherche qu'une chose [...] les baiser"''<ref name=":0" />[page 23-24]<blockquote>Puis il les compare à du "gibier" mort (en couple) ou vivant (célibataire) avant de continuer sa description du 'dragueur' : ''"Qu'une femme <u>accepte</u> de se laisser faire, aussitôt il en veut une autre; et <u>celle qui se refuse</u> lui laisse toujours un souvenir de regret plus fort que la petit satisfaction sordide tirée de celles qui sont sont <u>données</u>"''<ref name=":0" />[page 24]</blockquote><blockquote>''"L'autre grand connaisseur des femmes, c'est le proxénète"''<ref name=":0">Sociologie du Dragueur (1996) - Alain Soral  https://books.google.fr/books/about/Sociologie_du_dragueur.html?id=ijKmEAAAQBAJ&source=kp_book_description&redir_esc=y</ref>[page 11]</blockquote>"Le passage en force Puisque vous savez maintenant que pour l'amener au plaisir il fallait la forcer un peu, pourquoi changer de méthode à deux doigts du bonheur ? Inutile donc de s'attarder en préliminaires, vous avez déjà perdu assez de temps comme ça :  - plus vous entrerez sèchement, plus votre sentiment de la pénétrer sera fort;  -quant à elle, son plaisir étant parent de la douleur, croyez qu'elle appréciera aussi ce surcroît de virilité"
* Dans son livre 'Sociologie du Dragueur (1996), il considère ensuite le dragueur comme n'ayant ''"rien à dire aux filles, leur compagnie amicale ne l’intéresse pas, il se fout encore plus de ce qu'elles peuvent avoir à raconter. Le dragueur ne cherche qu'une chose [...] les baiser"''<ref name=":0" />[page 23-24]<blockquote>Puis il les compare à du "gibier" mort (en couple) ou vivant (célibataire) avant de continuer sa description du 'dragueur' : ''"Qu'une femme <u>accepte</u> de se laisser faire, aussitôt il en veut une autre; et <u>celle qui se refuse</u> lui laisse toujours un souvenir de regret plus fort que la petit satisfaction sordide tirée de celles qui sont sont <u>données</u>"''<ref name=":0" />[page 24]</blockquote><blockquote>''"L'autre grand connaisseur des femmes, c'est le proxénète"''<ref name=":0">Sociologie du Dragueur (1996) - Alain Soral  https://books.google.fr/books/about/Sociologie_du_dragueur.html?id=ijKmEAAAQBAJ&source=kp_book_description&redir_esc=y</ref>[page 11]</blockquote><blockquote>En parlant des relations sexuelles avec une femme '': "Le <u>'''passage en force'''</u> - Puisque vous savez maintenant que pour l'amener au plaisir il fallait <u>'''la forcer un peu'''</u>, pourquoi changer de méthode à deux doigts du bonheur ? Inutile donc de s'attarder en préliminaires, vous avez déjà perdu assez de temps comme ça :  - plus vous <u>entrerez sèchement</u>, plus votre sentiment de la pénétrer sera fort;  -quant à elle, son plaisir <u>étant parent de la douleur</u>, croyez qu'elle appréciera aussi ce <u>surcroît de virilité</u>"''<ref>[[:Fichier:Sociologie du Dragueur (Alain Soral, 1996) page 113.jpg|Fichier:Sociologie du Dragueur (Alain Soral, 1996) page 113.jpg]]</ref><ref name=":0" /> [[:Fichier:Sociologie du Dragueur (Alain Soral, 1996) page 113.jpg|[page 113]]]</blockquote>
*Il voit les femmes comme ayant une sociologie de la séduction assez archaïque - attirées par le luxe affiché de leur partenaire et par sa classe sociale avant son apparence ou son charme :  
*Il voit les femmes comme ayant une sociologie de la séduction assez archaïque - attirées par le luxe affiché de leur partenaire et par sa classe sociale avant son apparence ou son charme :  
<blockquote>"''La femme identifie d'emblée la séduction masculine à une force mondaine [...] Pouvoir du père social [...] permet le luxe du charme (pouvoir symbolique fondé sur le luxe). Charme du luxe (pouvoir concret de l'argent) qui permet le luxe du charme (pouvoir symbolique fondé sur le respect) et rarement l'inverse, car - le dragueur en sait quelque chose - sans le support du luxe, le charme n'est pas grand-chose''"<ref name=":0" /> [page 77]</blockquote><blockquote>''"La beauté [...] est considérée par les femmes comme une qualité féminine"''<ref name=":0" /> [page 82]</blockquote>
<blockquote>"''La femme identifie d'emblée la séduction masculine à une force mondaine [...] Pouvoir du père social [...] permet le luxe du charme (pouvoir symbolique fondé sur le luxe). Charme du luxe (pouvoir concret de l'argent) qui permet le luxe du charme (pouvoir symbolique fondé sur le respect) et rarement l'inverse, car - le dragueur en sait quelque chose - sans le support du luxe, le charme n'est pas grand-chose''"<ref name=":0" /> [page 77]</blockquote><blockquote>''"La beauté [...] est considérée par les femmes comme une qualité féminine"''<ref name=":0" /> [page 82]</blockquote>
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*Il qualifie la thèse la thèse sexiste essentialisante (entre autres) d'[https://fr.wikipedia.org/wiki/Otto_Weininger#Sexe_et_caract%C3%A8re Otto Weininger] dans ''Sexe & Caractère'', "d'antisémite" et de "''misogynie philosophique occultée qui étends pourtant sa logique d’Aristote''" puis la décrit comme étant "''émouvant, respectable et cohérent''"<ref name=":0" /> et considère que le critiquer c'est remettre en question l'essentiel des thèses de nombreux philosophes classiques occidentaux ("Kant, Schopenhauer, <u>Freud</u>, Aristote"), chose impossible selon lui sans une autorité académique et philosophique reconnu, semblant sous-entendre que leurs thèses n'ont jamais été invalidées [page 17-18]
*Il qualifie la thèse la thèse sexiste essentialisante (entre autres) d'[https://fr.wikipedia.org/wiki/Otto_Weininger#Sexe_et_caract%C3%A8re Otto Weininger] dans ''Sexe & Caractère'', "d'antisémite" et de "''misogynie philosophique occultée qui étends pourtant sa logique d’Aristote''" puis la décrit comme étant "''émouvant, respectable et cohérent''"<ref name=":0" /> et considère que le critiquer c'est remettre en question l'essentiel des thèses de nombreux philosophes classiques occidentaux ("Kant, Schopenhauer, <u>Freud</u>, Aristote"), chose impossible selon lui sans une autorité académique et philosophique reconnu, semblant sous-entendre que leurs thèses n'ont jamais été invalidées [page 17-18]
*Il oppose un peu plus loin le profil du "dragueur" à celui du "séducteur" et dépeint le premier comme un pauvre qui s'applique à une méthode empirique quasi-scientifique de l'élimination par l’expérience et déplore son déclin qui selon lui sont du au sida et à "la crise"<ref name=":0" /> [page 85-88]
*Il oppose un peu plus loin le profil du "dragueur" à celui du "séducteur" et dépeint le premier comme un pauvre qui s'applique à une méthode empirique quasi-scientifique de l'élimination par l’expérience et déplore son déclin qui selon lui sont du au sida et à "la crise"<ref name=":0" /> [page 85-88]
<blockquote>''"Élevé dans les jupes d'une mère omnipotente, l'ami des dames adore les femmes et se complait au milieu d'elles. Mû par des aspirations machistes mais doté d'une <u>mentalité de pédé</u>, il jure en leur présence que la femme est l'avenir de l'homme, l'esprit de l'humanité. Prêt, pour tirer, aux pires bassesses (porter les paquets, trahir les potes...), ce <u>broute-minou</u> doublé d'un faux-cul est l'opposé du dragueur authentique; ce qui n'ôte rien à sa <u>répugnante</u> efficacité''"<ref name=":0" /> [page 89]</blockquote>'''Drague de rue'''<blockquote>''"Choisissez une fille qui vous plait [...] suivez la. [...] Par un signe incongru : œillade, grimace, geste, sifflet..., vous l'obligez à croiser votre regard et sous ce mince prétexte vous l'abordez franchement"''<ref name=":0" /> [page 100-101]</blockquote><blockquote>''"prendre <u>impérativement</u> son numéro de téléphone (<u>prendre pas demander</u>, <u>quand on demande quoi que ce soit à une fille qu'on a pas encore eu, par principe la réponse est non</u>) [...] Pour <u>minimiser les risques les refus</u>, commencez à noter son prénom et <u>exigez</u> la suite en douceur, comme une évidente nécessité"''<ref name=":0" /> ''[page 105]''</blockquote><blockquote>''"grâce à la collecte systématique des numéros de téléphone, de vous constituer un <u>stock pour le soir</u> et les jours de pluie"''<ref name=":0" /> [page 107]</blockquote><blockquote>''"Dans les fêtes, l'alcool étant gratuit, <u>'''faites boire''' (mais pas trop pour ne pas qu'elle vomisse)</u>"''<ref name=":2">[[:Fichier:Sociologie du Dragueur (Alain Soral, 1996), page 108.jpg|Fichier:Sociologie du Dragueur (Alain Soral, 1996), page 108.jpg]]</ref><ref name=":0" /> ''[page 108]''</blockquote><blockquote>''"Elle est avec un mec : <u>Faites en sorte de lui faire mépriser celui qui l'accompagne (par la '''manipulation''', la provocation, la '''menace'''...)</u>; sachant que son mépris sera d'autant plus facile à faire naître et d'autant plus tenace qu'était physique et profonde leur intimité"''<ref name=":2" /><ref name=":0" /> ''[page 108]''</blockquote>"pour elle dans l'amour tout est beau quand elle aime. Alors quelles que soient vos propres réticences sur la chose, soyez crad; elle vous saura gré de l'aider à repousser les limites physiques de sa soif de spiritualité.
<blockquote>''"Élevé dans les jupes d'une mère omnipotente, l'ami des dames adore les femmes et se complait au milieu d'elles. Mû par des aspirations machistes mais doté d'une <u>mentalité de pédé</u>, il jure en leur présence que la femme est l'avenir de l'homme, l'esprit de l'humanité. Prêt, pour tirer, aux pires bassesses (porter les paquets, trahir les potes...), ce <u>broute-minou</u> doublé d'un faux-cul est l'opposé du dragueur authentique; ce qui n'ôte rien à sa <u>répugnante</u> efficacité''"<ref name=":0" /> [page 89]</blockquote>'''Drague de rue'''<blockquote>''"Choisissez une fille qui vous plait [...] suivez la. [...] Par un signe incongru : œillade, grimace, geste, sifflet..., vous l'obligez à croiser votre regard et sous ce mince prétexte vous l'abordez franchement"''<ref name=":0" /> [page 100-101]</blockquote><blockquote>''"prendre <u>impérativement</u> son numéro de téléphone (<u>prendre pas demander</u>, <u>quand on demande quoi que ce soit à une fille qu'on a pas encore eu, par principe la réponse est non</u>) [...] Pour <u>minimiser les risques les refus</u>, commencez à noter son prénom et <u>exigez</u> la suite en douceur, comme une évidente nécessité"''<ref name=":0" /> ''[page 105]''</blockquote><blockquote>''"grâce à la collecte systématique des numéros de téléphone, de vous constituer un <u>stock pour le soir</u> et les jours de pluie"''<ref name=":0" /> [page 107]</blockquote><blockquote>''"Dans les fêtes, l'alcool étant gratuit, <u>'''faites boire''' (mais pas trop pour ne pas qu'elle vomisse)</u>"''<ref name=":2">[[:Fichier:Sociologie du Dragueur (Alain Soral, 1996), page 108.jpg|Fichier:Sociologie du Dragueur (Alain Soral, 1996), page 108.jpg]]</ref><ref name=":0" /> ''[[:Fichier:Sociologie du Dragueur (Alain Soral, 1996), page 108.jpg|[page 108]]]''</blockquote><blockquote>''"Elle est avec un mec : <u>Faites en sorte de lui faire mépriser celui qui l'accompagne (par la '''manipulation''', la provocation, la '''menace'''...)</u>; sachant que son mépris sera d'autant plus facile à faire naître et d'autant plus tenace qu'était physique et profonde leur intimité"''<ref name=":2" /><ref name=":0" /> [[:Fichier:Sociologie du Dragueur (Alain Soral, 1996), page 108.jpg|[page 108]]]</blockquote>
 
La pipe
 
Si pour vous << ma queue dans sa tête >>> symbolise assez bien le niveau de l'échange, pour elle << téter le sein du père >>> n'a rien d'infamant¹. Profitez donc de ce malentendu pour lui faire découvrir qu'en fait elle aimait ça (et pendant qu'elle y est faites-vous donc faire le nettoyage complet); ce geste différemment apprécié, mais toujours agréable, ne fera qu'accroître votre prestige à ses yeux.
 
L'entrée des artistes
 
L'anus se situant un cran plus haut que la bouche sur l'échelle des preuves physiques de l'amour², même si ça vous emmerde faites semblant d'y tenir (dites-lui qu'il vous importe de la connaître à fond, que vous avez besoin qu'elle soit à vous tout entière). Maintenant qu'elle sait que vous vous intéressez vraiment à elle, vous pouvez sans crainte remettre à plus tard la promesse de cette intimité suprême; et garder du même coup une bonne raison de revenir.
 
La communion des plaisirs
 
Subjuguée au mental comme au physique, plus ça va plus elle ressent ce que vous ressentez. Il est donc inutile de vous occuper d'elle, jouissez, elle jouira (au moins de vous avoir fait jouir).
 
1 D'un point de vue moral, il serait encore plus malsain de faire la fine bouche avec ce qu'on désire tant par ailleurs.
 
2 L'enchaînement des deux appelé "éclair au chocolat" constituant le témoignage de l'amour ultime"


=== LGBT ===
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